La publication dans la revue spécialisée International Journal of Hydrogen Energy d’une étude sur l’exploitation d’hydrogène naturel de Bourakébougou a fait couler beaucoup d’encre ces dernières semaines au sein de la communauté scientifique et des experts du secteur énergétique. Ses auteurs, une équipe internationale de chercheurs, sous la direction du professeur Alain Prinzhofer, ont souligné l’important potentiel du site industriel.
Ils ont découvert en premier lieu que le gisement exploité ne fait pas près de 8 kilomètres comme on le croyait jusque-là, mais probablement plus de 150 kilomètres de diamètre. De quoi produire beaucoup d’énergie verte… et pendant longtemps ! Ils ont évalué, ensuite, le coût de production de l’électricité avec l’hydrogène naturel, estimant compétitive l’exploitation industriel d’hydrogène naturel. De quoi annoncer un potentiel industriel important et promettre pour le bassin, un avenir énergétique radieux et écologique au Mali et de satisfaire celui qui a toujours cru à cette source d’énergie du futur, Aliou Diallo.
Aliou Diallo est bien connu des Maliens. Sont engagement au service de son pays et de ses compatriotes lui ont d’ailleurs permis de créer la surprise lors des dernières élections présidentielles maliennes en juillet 2018 et de s’imposer comme le troisième homme d’un scrutin joué d’avance entre les deux candidats du pouvoir, avec un score imposant de 8% des voix du peuple malien. Il est à la tête, avec sa compagnie Wassoul’Or, de la seul mine d’or africaine détenue par de capitaux nationaux.
Surtout, il possède le site d’exploitation d’hydrogène naturel du bassin de Bourakébougou qui pourrait faire de lui l’homme le plus puissant d’Afrique dans les prochaines décennies, d’après les conclusions de l’étude de l’International Journal of Hydrogen Energy.
Un pari qui s’est révélé judicieux et qui a été lancé dès 2011, avec la création du site d’exploitation par Petroma Inc, dont Alou Diallo est le fondateur et président.